Quelques extraits d'un blog qui révèle le vrai visage de Pascal Boniface...
En 1994 paraît un ouvrage collectif intitulé Lexique
des relations internationales, aux éditions Ellipses. Placé sous la direction de Pascal Boniface, le livre affiche les auteurs suivants : Clara
Bacchetta, Vincent Barrailler, Thomas Bonnel, Camille Grand, Thierry Tardy.
En 2000, réédition de l'ouvrage, à l'identique, sauf quelques ajouts marginaux. Mais, surprise, le nom des contributeurs a
disparu. Seul celui de Pascal Boniface subsiste. Comme s’il était le seul auteur de ces articles. Colère — bien légitime — des co-auteurs et procès. Pascal Boniface est lourdement
condamné en première instance pour « contrefaçon in solidum avec l'éditeur ».
Décidément sans gène, il fait appel en portant plainte pour procédure abusive et atteinte à sa réputation. Il est non
seulement débouté de cette plainte, mais sa condamnation est confirmée par le Tribunal. Il est condamné, conjointement avec son second éditeur, à verser 4000 euros de dommages et
intérêts à ses co-auteurs « oubliés » + leur frais d’avocats. Ci dessous la copie d’un chèque de 7000 euros fait par Pascal Boniface, pour payer une partie de sa condamnation
Source : Arrêt du 25 février 2004, cour d'appel de Paris.
Pascal Boniface, roi de la coquille
[Le Hezbollah (littéralement Le parti de Dieu) est présenté dans le livre de Pascal Boniface comme "un mouvement
athée".]
Dans Les Intellectuels faussaire, Pascal Boniface fait la leçon et croit avoir déniché la preuve de l’imposture de
ceux qu’il poursuit de sa morve en pointant du doigt qu’ils font des « coquilles »… Parce qu’ils se trompent sur une date ou en note de bas de page. Pascal Boniface est à l’abri de ce
risque… Puisqu’il fait très peu de note de bas de pages (ce qui permettrait au lecteur de connaître ses sources et de vérifier par lui-même), sauf pour se citer. En revanche, il n’a pas
vraiment de leçons à donner en termes de « coquilles ». D’autant qu’il ne s’agit pas, dans son cas, de simples erreurs (ce qui arrive à tous les auteurs) mais de grossières boulettes.
Quelques exemples comiques, à faire pâlir d’envie le philosophe Botul…
• Le Hezbollah, un "mouvement athée"
« Le Hezbollah, un "mouvement athée ». « Une coquille » selon Pascal Boniface, qui n’a pas vraiment expliqué
comment un spécialiste des relations internationales et du Proche-Orient — censé connaître deux mots d’arabe — peut ripper sur son clavier au point d’écrire pareille énormité : Hezbollah,
en arabe, voulant dire… « Parti de dieu ».